On te connaît principalement comme tatoueur. D’où vient ta passion pour la peinture sur les motos? Ça vient de mon adolescence. A l’âge de 16 ans, j’allais à chaque mois, acheter mes magazines Easyrider et Iron Horse. J’aimais les motos qui sortaient de l’ordinaire et ceux qui savaient comment se démarquer…
Je décrirais l’Ateliers 12oz de old school : des anciennes pratiques et techniques, mais avec des produits de qualité qu’offrent le marché d’aujourd’hui. Les pinceaux, le masking tape et l’airbrush sont de mise en atelier.